2 juin – Fyrudden // Arkösund
Après cette pause de 48 heures à Fyrudden, nous repartons le 2 juin au matin, avec pour objectif de rallier Arkösund où nous avons rendez-vous le lendemain dans un chantier pour faire contrôler notre moteur. Celui-ci cale deux fois pendant la manoeuvre pour quitter le catway et pose ainsi l’ambiance de la journée : elle sera placée sous le signe de la méfiance vis-à-vis de ce quatre temps qui nous pose quelques soucis… L’archipel de Gryt est magnifique mais le vent de NE qui souffle se canalise entre les îles et nous l’avons la plupart du temps de face, nous obligeant à utiliser régulièrement le moteur pour aborder ce que nous avons décidé d’appeler « des passes ». Ces passages étroits entre les îles sont pour la plupart bien balisés, et nous bénéficions d’une bonne cartographie GPS avec Navionics, mais nous avons déjà constaté que certains cailloux n’y figurent pas… Nous les abordons en ralentissant un peu et le plus souvent avec Claire ou moi à l’avant sur la delphinière, en mode « vigie ». En milieu de journée, les bras de mer s’élargissent et nous filons à la voile au près vers Arkösund.
Coincés entre le continent et l’île d’Arkö, dans un bras de mer magnifique bordé de petites falaises où siègent de magnifiques villas, se trouvent deux port d’invités séparés de quelques dizaines de mètres. Sans vraiment nous concerter, nous nous dirigeons vers un petit ponton vide, au plus près du rivage : le NSS Gästhamn. A quelques dizaines de mètres, un grand mât avec haubans et hune, installé sous un joli club-house, sont déjà la promesse d’une belle soirée pour les petits et les grands. Malheureusement, ou pas, la saison estivale n’a pas encore débutée, le port est vide et la capitainerie fermée. Malgré cela, un bénévole du club fini par apparaître, et hisse les couleurs du club dans le mât, ainsi qu’une série de drapeau du langage maritime international, formant ainsi les lettres : TMID du haut vers le bas. Si quelqu’un peut nous éclairer sur le sens de ce message, nous sommes preneurs. Nous partons saluer nôtre hôte et l’accueil et comme d’habitude très sympathique. Les douches sont à l’extérieur, directement sur les pontons, et nous pouvons utiliser à notre guise le sauna !






3 juin – Journée à terre à Arkösund.
Nous avons rendez vous à 10h au chantier MARIN AB situé à 0,5 MN plus au nord. Le moteur ronronne ce matin, et nous ne savons pas encore si, venant de sa part, nous devons prendre çà comme un bras d’honneur ou des excuses ! En quelques minutes nous rallions le chantier et nous amarrons sur ses pontons. Les enfants débarquent et un mécanicien prend place à bord. Après lui avoir fait le conte de nos péripéties et des différents travaux que nous avons effectués, il réalise une série de tests sur le moteur. Après 20 minutes le verdict tombe : le moteur n’a visiblement aucun problème ?! Il nous change le filtre à essence, et nous explique que la dernière vidange effectuée avec Claire a visiblement fini d’évacuer l’eau du compartiment à huile, et que, sans garantie aucune, les problèmes de puissance et de calages peuvent être liés à la présence d’eau dans les circuits électriques. Le fonctionnement du moteur pendant quelques heures la veille, ainsi que le soleil et la nette remontée des températures ont surement contribué à le sécher. Après avoir régler « le prix de la tranquilité » (c’est à dire cher pour le temps passé, mais où tu es quand même content parce que tu t’en sors pas trop mal…), nous retournons en fin de matinée à notre NSS Gästhamn, où nous allons rester encore une nuit. Nous avons envie de nous promener, et j’ai promis à Ti’Paul de « l’éclater » au mini-golfe situé à 500 mètres du bateau. Trois heures plus tard je termine le mini 12 trous à l’avant dernière place, à un point seulement devant Blanche (4 ans)… Nous finissons la journée avec une glace pour les uns, et un petit footing pour l’autre. En courant une seule question m’obsède: comment je peux être aussi nul au mini golf ?!? Une fois les enfants couchés, je fini par me consoler en profitant avec Claire du sauna installé presque sur les pontons.




4 juin – Arkösund // Broken.
En fin de matinée, après quelques devoirs avec les enfants, nous quittons Arkösund. Après avoir enrouler la pointe sud de l’île d’Arkö, nous déroulons le gennaker et filons tribord amure cap au NE, par un vent de travers de 8 à 12 kt. Après ces journées de navigation dans les archipels, nous avons presque plaisir à retrouver un peu de large pour cette traversée de l’estuaire de Norrköping. Il donne accès vers le célèbre Göta Canal qui traverse le sud de la suède d’est en ouest, véritable route pour bon nombre de navires entre la mer du Nord et la Mer Baltique. Comme depuis plusieurs jours, le soleil est avec nous et les températures commencent à sensiblement remonter. Nous profitons pleinement de cette magnifique journée de voile, et après 20 MN parcourus, nous arrivons sur l’île de Broken. C’est une toute petite île privée avec une zone de mouillage aménagée grâce à des astucieux pontons en bois qui complètent les rives naturelles en rochers. Un quai à aborder par l’avant avec mouillage arrière vient compléter cet aménagement. Cette technique très utilisée par les suédois en Baltique, permet de gagner de la place sur les quais et d’aborder les rives rocheuses au plus près par l’avant, en utilisant la delphinière du bateau comme passerelle. Elle nécessite d’avoir une ancre et une ligne de mouillage installées à la poupe du bateau. Sur Amor Fati, par souci de poids et de place, nous avons fixé un sac sur le balcon arrière contenant : une ancre de 5 kg, 5m de chaîne et une ligne de mouillage de 15 mètres. Les suédois et les allemands eux, ont tous de gros enrouleurs de sangles fixés sur leur balcon arrière, ainsi qu’une ancre sur un davier qui surplombe la poupe. Puisque notre tirant d’eau est de 115cm, l’accès au plus près de l’île nous est impossible et nous choisissons le quai (vide) en réalisant notre première approche sur ancre arrière. La manoeuvre se passe plutôt bien (nous l’avions pas mal imaginée en amont avec Clairette) mais nous estimons avoir jeter l’ancre trop tard, et j’ai du mal à « sentir » l’accroche de l’ancre à l’arrière. Les enfants profitent d’une petite plage pour se baigner et nous faisons la connaissance des habitués des lieux qui nous conseillent vivement une escale pour le lendemain : la réserve naturelle de Stendörren. Nous avions coché cette étape sur notre guide nautique suédois, mais l’avions écartée pour le lendemain car située à seulement 6 MN de Broken. Nous nous laissons finalement convaincre et choisissons cette destination pour le lendemain. Le soir, en remplissant le journal de bord, je me rends compte que l’horamètre du bateau a visiblement un problème. Alors que nous n’avons utilisé le moteur que quelques minutes seulement sur cette étape, celui-ci indique 908,1 heure contre 882,7 à l’étape précédente… « Ou alors c’est ma montre qui déconne ?! » 😉













5 juin – Broken // Stendörren.
Petite étape d’un peu plus de 6 MN, en vent arrière, où la nette remontée des températures nous permet pour la première fois d’envisager le tee-shirt sur le pont. Le gennaker montre vite ses limites à cette allure. Notre spi nous manque, même si les nombreuses îles de cet archipel génèrent de grosses déventes. Claire à la barre, nous passons deux passes à la voile et prenons petit à petit nos marques et de l’assurance dans ces passages étroits. Après le stress des premières navigations nous en venons à apprécier ces jolis passages parfois techniques. Nous arrivons pour déjeuner au milieu de la baie de cette réserve naturelle fermée par un étroit passage bien marqué par des perches. Nous mouillons tout d’abord « classiquement » et partons nous ballader à terre en annexe. J’ai beaucoup de mal à laisser notre bateau seul au mouillage au milieu de la baie, d’autant plus qu’une brise thermique se met en place en début d’après midi. Depuis la terre, j’ai vraiment l’impression qu’Amor Fati chasse doucement sur son mouillage, et se rapproche tranquillement des rochers qui affleurent 20 mètres derrière la poupe…. Je laisse Claire et les enfants finir la ballade, et regagne le bord pour pouvoir intervenir si besoin. Après les avoir récupérés une heure plus tard, nous décidons de changer de stratégie et de nous essayer à un vrai mouillage suédois contre les cailloux. Une barre rocheuse avec un tombant de plusieurs mètres sous l’eau devrait nous permettre une approche, d’autant plus qu’un bateau suédois vient de s’y installer et nous conforte dans cette option. Un homme en paddle, tirant un kayak, passe à quelques mètres et nous salut en français ! Nous levons l’ancre et préparons notre approche avec l’idée de ne pas lancer le mouillage arrière trop tard cette fois afin de nous en servir comme d’un frein en approchant des rochers. Nous arrivons au ralenti, perpendiculaire à la falaise. Comme il est visiblement de coutume, le voisin suédois se teint prêt à nous aider pour cet accostage, accompagné du français croisé un peu plus tôt. Claire est à l’avant, sur la delphinière, prête à sauter à terre, et m’annonce les distances. Je décide de jeter l’ancre arrière à deux longueurs de bateau de la falaise, et nous finissons notre approche. Notre ligne de mouillage arrière se tend alors qu’il nous reste un peu moins de deux mètres à parcourir… Cette fois j’ai jeté l’ancre trop tôt ! Claire lance les amarres à nos aides à terre et d’un pas que lui permet ses belles et grandes guiboles, rejoint le bord de falaise. En quelques minutes le bateau est amarré de chaque côté à l’avant grâce à des arbres. Nous pouvons assez facilement gagner la terre ferme et le bateau n’est pas prêt de bouger.








Au bivouac aménagé à quelques mètres, où nous avons l’intention de faire griller quelques saucisses en soirée, nous faisons la connaissance d’une famille française installée à Stockholm depuis de nombreuses années. Les parents s’appellent Anne et Stéphane et sont accompagnés de leurs enfants Maël et Léo. Ils sont venus bivouaquer à la belle étoile en famille et ont amenés kayak et paddle. Paul et Blanche sont fous de joie à l’idée de jouer avec d’autres enfants (une première depuis plus d’un mois). Les connaissances sont faites en quelques minutes et les voilà partis jouer aux aventuriers pendant que nous entamons la discussion avec les parents. Stéphane lance le barbecue, les saucisses grillent, et nous profitons des légumes apportés par Anne et Stéphane et qu’ils nous ont proposé de partager avec eux. Nous échangeons sur nos premières impressions de la Suède et, grâce à leur expérience, récupérons de précieux conseils pour la suite de notre voyage et notamment notre visite de Stockholm. Après le repas les enfants partent ensemble faire un tour de kayak sans parents. Je décide d’en profiter pour faire quelques prises de sons pour Radio Boubou et part au bateau chercher l’enregistreur Zoom prêté par un ami ingénieur son à La Rochelle. A mon retour, en voulant aider les enfants à accoster, je glisse sur les algues de la rive, et, sans pouvoir faire grand chose, me retrouve à l’eau jusqu’aux épaules… Evidemment, et malgré l’avertissement de Stéphane quelques secondes plus tôt, j’ai l’enregistreur son dans la poche et mon téléphone. Le téléphone est étanche, pas l’enregistreur son… Je contiens ma colère contre moi-même et pars me changer au bateau. La soirée se termine autour du feu avec un verre de rhum « Don Papa » de notre bord. Nous laissons Anne et Stéphane à l’installation de leur bivouac et les remercions pour cette excellente soirée.








6 juin – Stendörren // Nynäshamn.
Après avoir saluer Anne, Stéphane et leurs enfants, nous quittons notre petite falaise à 9h30. La journée est belle avec un tout petit peu de vent d’est. C’est donc au moteur que nous prenons plein ouest dans l’archipel puis gagnons un peu le large en passant devant l’accès au canal de Södertälje. Les enfants sont fatigués de leur soirée et dorment sur le pont ou à l’intérieur. Nous en profitons pour changer notre plan initial et décidons de pousser jusqu’au port de Nynäshamn situé à 20 MN. C’est une journée de transition ensoleillée, avec beaucoup de moteur mais ou nous nous sentons bien en mer. Comme dirait Moitessier : « pas pressé de rentrer ! ».
Nous arrivons en milieu d’après midi au port de Nynäshamn situé 26 MN au sud de Stockholm. C’est un grand port touristique vide à 80% en ce début de saison. Une grande église rouge domine le port et les installations du ferry situé à quelques centaines de mètres, point de départ pour l’île réputée de Gotland. Le bord de mer est bien aménagé et nous nous offrons un restaurant en soirée à quelques pas de la capitainerie.





7 juin – Journée à terre à Nynäshamn
L’objectif de la journée est simple : nous avons besoin de trouver une pharmacie pour continuer les soins de pansement sur mon doigt, et nous devons remplir le frigo et le bar. Ici en Suède, l’alcool au delà de 3,5% est vendu exclusivement dans des magasins d’Etat : les Systembolaget. Nous n’en trouvons que dans les grandes villes. Quiconque connait la passion que voue Claire à la sainte bière sait combien il peut être dangereux de venir à manquer 😉 Nous en profitons pour visiter le parc de la ville, faire sécher le bateau (qui condense moins depuis la remontée des températures, sauf sous les matelas) et faire le plein des nourrices d’essence.





8 juin – Nynäshamn // Ornö Djupviken
Après cette journée en ville, nous aspirons à retrouver nos mouillages sauvages. Nous sommes à 56 MN de Stockholm et espérons rallier la capitale en trois jours. Nous faisons volontairement des étapes de 3 à 5 heures (soit entre 10 et 25 MN par jour) car les enfants ont vraiment besoin de moments à terre pour se défouler et apprécier pleinement le voyage. Le vent souffle du sud entre 8 et 15 kt, il fait beau et chaud, le temps idéal pour cette journée de navigation, cap à l’est. Une fois le chenal des ferries passés, nous déroulons le gennaker et filons à plus de 6 kt de moyenne sur la première heure : notre record depuis le départ. En début d’après midi nous passons vent arrière, et nous nous calons gentiment en ciseaux (la grand voile gonflée sur un bord quand le solent à l’avant est gonflé sur le bord opposé). Nous arrivons en mileiu d’après midi sur l’île d’Ornö dans une grande baie abritée du sud où nous sommes absolument seuls. Nous nous lançons dans un mouillage suédois contre une petite falaise. Nous commençons à avoir la technique et tout se déroule parfaitement. Il reste 20 cm d’eau sous la proue à un mètre de la falaise. Un rapide coup d’oeil sous l’eau, depuis l’annexe avec un masque de plongée, nous confirme qu’il reste 40 cm sous les quilles. Celles-ci sont situées très à l’avant du bateau et nous nous méfions toujours de la profondeur disponible si près du rivage. Une fois le bateau rangé, nous quittons le bord et partons faire les « sangliers » dans les bois sauvages environnants. Nous perdons rapidement la trace et improvisons notre propre randonnée. En désescaladant un ressaut, je découvre un beau bois de cerf : prise de guerre ! Nous finissons par retrouver une piste forestière et gagnons une petite plage où les enfants profitent une nouvelle fois de la fraîcheur de la Baltique. Nous regagnons le bord à l’heure de l’apéritif et profitons de cette belle soirée où nous avons le sentiment d’être bien loin du monde.













9 juin – Ornö Djupviken // Artipelag
Ce matin, le temps est orageux et pas un souffle d’air ne vient perturber la surface absolument lisse de l’eau dans la baie. C’est au moteur que nous entreprenons cette journée de 21 MN, en remontant la rive nord-est de l’île d’Ornö. Des navires militaires plutôt imposants sillonnent ce chenal naturel et nous comprenons vite que des exercices militaires sont en cours sur la zone. Ils n’ont pas l’air de se tracasser de la présence de ce petit bateau français, nous faisons donc route comme si de rien n’était, en veillant malgré tout un éventuel message à notre intention sur la VHF portable. Dans l’après midi le tonnerre gronde, et nous espérons pouvoir passer entre les averses… raté ! C’est sous des trombes d’eau que nous arrivons sur le quai du musée d’art moderne de Artipelag, un grand bâtiment aux formes géométriques qui se fond complètement dans le paysage boisé de Baggensfjärden. Alors que nous pensions le musée fermé, nous profitons finalement de l’exposition ouverte la semaine précédente, une rétrospective des oeuvres de Rolf Hanson, artiste contemporain visiblement très réputé en Suède. L’une des guides présente, adore le français et s’amuse beaucoup à essayer de discuter avec nous. Si le début de l’exposition et les oeuvres les plus récentes nous laissent un peu perplexe (parents et enfants), la suite nous inspire beaucoup plus et nous nous faisons rapidement embarquer dans cet univers coloré un peu perché où plane l’ombre fantomatique de quelques muses. La dernière salle est à la mesure des oeuvres présentées : immense. Nous sortons ravis de cette visite improvisée. Un vieux monsieur en tee-shirt bleu fluo et veste grise avance vers nous dans le hall et demande aux enfants ce qu’ils ont pensé de l’expo. Je traduis tant bien que mal les propos de Paul, et nous apprenons par la guide qu’il s’agit en fait de l’artiste lui-même, dont nous venons de découvrir une vie entière de travail. Nous rentrons au bateau en profitant des toits terrasses avec jardins suspendus, et d’un parcours de sculptures dans le parc boisé du musée. Panne de gaz en soirée sur le bateau. Une pensée pour Eric qui nous a dépanné d’une bouteille de gaz à moitié pleine la veille de notre départ « au cas où« . Grâce à lui, nous mangerons chaud et nous aurons du thé et du café au petit déjeuner. Nous serons à Stockholm demain, nous en profiterons pour faire le plein de gaz.



















10 juin – Artipelag // Stockholm
C’est avec Blanche à la barre que nous quittons notre petit ponton de Artipelag et traversons le Baggensfjärden pour gagner un des chemins d’accès vers Stockholm : le Baggensstäket. Avec Claire, confortablement installés dans notre salon à La Rochelle, nous avions repéré il y a des mois déjà ce petit canal étroit et encaissé et avions « coché » cet accès à la capitale. Quel plaisir de s’y retrouver « en vrai » ce matin, d’autant plus que les paysages sont à la hauteur de nos espérances. Nous restons vigilants sur les quelques passages étroits et peu profonds (2,5m), mais profitons pleinement des ces rives sauvages qui s’urbanisent progressivement en approchant de Stockholm. L’agitation gagne l’équipage quand les grands immeubles en brique apparaissent et que nous entrons finalement dans Stockholm en longeant la rive sud de l’île de Djurgården. Quelques mètres avant le port de Wasahamnen, des cris résonnent dans le ciel ! Des gens installés dans des petites nacelles, sous une tour de métal se font littéralement « satelliser » à plus de quarante mètres de haut ! Il s’agit du célèbre parc d’attraction de Gröna Lunds situé en coeur de ville. Nous nous engageons alors entre les étroits pontons de Wasahamnen et prenons notre place. Le port est en plein centre-ville, à quelques centaines de mètres du musée des Vikings, de celui du tristement célèbre vaisseau de guerre Wasa, ainsi que du parc zoologique de Stockholm, bref, tout un programme pour petits et grands que nous allons découvrir ces prochains jours !








Merci à tous de nous suivre et à très bientôt pour le récit de cette étape à Stockholm. N’hésitez pas à aller faire un tour du côté des galeries photos si vous voulez en voir un peu plus 😉
Bises à tous !
Claire & Alex
LMID= Langage Maritime International + D(delta) = » je vous le dis en LMI, en une lettre, comme en cent: ne venez pas m’emmerder ici » (langage un peu cru des marins de l’époque, conservé jusqu’à nos jours)
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Formidable journal de bord ! On a même droit à visiter une exposition ! Vous êtes superbes, tous les 4 !
Merci de nous faire partager tout ça, on vous embrasse.
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